Les yeux bandés, la porte est restée déverrouillée, à 8h45 précises, je suis entré dans le couloir faiblement éclairé qui menait à l’étage du petit appartement d’une chambre à coucher qui était maintenant occupé par le Dom et sa soumise. J’ai glissé de ma robe bleue en denim et je me suis tenue nue au pied de l’escalier, conformément aux instructions, et j’ai regardé autour de moi les objets personnels de l’homme qui m’avait convoquée ici tonite. Ses chaussures étaient soigneusement doublées sur le côté gauche de la rampe et là où des boîtes s’empilaient contre le mur. De temps en temps, je montais les escaliers, comme moi, sa soumise était une novice et il lui avait fait croire qu’il y avait peut-être une possibilité qu’une autre soumise arrive ici, tonite. Il l’a taquinée et narguée en pensant qu’elle pourrait être “observée” par une autre paire d’yeux que la sienne.
Vous voulez connaître ma résolution du Nouvel An de la salope de la douleur ? C’est la question ennuyeuse qui se pose à cette époque de l’année, mais ma réponse cette fois-ci, cette année, est loin d’être celle-là.
Sa langue chaude glissait en soumission lentement sur mon ventre tendu tandis que ses cheveux noirs et fluides caressaient ma poitrine nue. Alors que sa langue patinait délicatement sur mon torse picotant, me tourmentant sauvagement, elle s’est approchée de ma poitrine en enlevant mon t-shirt blanc serré, tandis que ses doigts et sa langue exploraient chaque centimètre de mon corps tendu.
En tant que votre soumis, je marche dans le couloir sans malheureusement remarquer la lumière clignotante au-dessus de moi, je me dirige lentement vers la salle de bains, étourdi, j’ouvre la porte, j’allume la lumière et j’entre. Je fixe le reflet dans le miroir. Il ne me ressemble pas du tout, le visage est pâle et on peut voir des lignes de larmes d’où la personne avait pleuré, des cheveux partout et l’air d’une épave complète !
Mon petit ami est incroyablement provocateur et doit donc faire ce que je lui dis tout le temps, mais parfois il s’écarte du droit chemin et je dois le garder dans le droit chemin. Quand il est mauvais, nous mettons sa bite dans une cage à bite et il doit y rester jusqu’à ce que je dise qu’elle peut être libérée et utilisée comme je l’entends.
Je travaille dans une entreprise assez influente dans une grande ville animée, les gens vont et viennent de ce travail tout le temps. Certains l’adorent, d’autres ne le supportent pas et d’autres encore baisent leurs collègues, c’est comme ça dans ce métier.