Partouze dans un appartement nudiste et libertin
Simon monte le petit escalier devant la grande et vieille maison et sonne à la porte. Pierre, le frère aîné de Simon, vit dans la maison avec plusieurs amis. Pierre a parlé à Simon de leur attitude ouverte à l’égard des vêtements et du sexe et Simon est anxieux, ou en fait assez nerveux, mais aussi curieux, maintenant qu’il visite le collectif pour la première fois. Il est heureux de connaître Pierre et Juliette, la petite amie de Pierre.
Et puis il se trouve que c’est Juliette qui ouvre les portes. Elle porte une longue chemise bleue en soie qu’elle tient décemment fermée d’une main.
“Salut Simon !” s’exclame-t-elle. “J’ai deviné que c’était peut-être toi. Entre donc.”
Elle lui étreint légèrement l’épaule lorsqu’il passe, dans le petit hall. Simon pose son sac par terre tandis que Juliette fait glisser la chemise en soie et l’accroche à un crochet près de la porte. Troublé par la vue, Simon fixe son corps nu sans savoir quoi dire. Juliette est petite et ronde et ses longs cheveux châtains pendent librement dans son dos et sur l’un de ses seins. Ses seins sont gros – aussi gros que Simon l’avait imaginé. Juliette lui rit au nez en comprenant pourquoi Simon la regarde fixement.
“Oh oui. Je suis désolée”, dit-elle. “Tu ne m’as probablement jamais vue nue auparavant, n’est-ce pas… ? Mais tu ferais bien de t’y habituer. Comme tu le sais, nous ne portons normalement jamais rien par ici.”
“Oui, je sais…” dit Simon. “Mais est-ce que je devrais aussi me déshabiller maintenant, alors ?” demande-t-il d’une voix gutturale.
“Non tu peux attendre d’être prêt. Garde-le jusqu’à ce que ça te paraisse naturel de l’enlever… Mais entre maintenant, que je te fasse visiter la maison.”
Simon enlève ses sandales et son tee-shirt, mais garde son short pour le moment, puis suit Juliette.
Dans la cuisine, ils rencontrent une femme qui prépare des légumes pour le dîner. Elle est plus grande et plus mince que Juliette, a des cheveux blonds et des seins plus petits.
“Voici Myriam”, dit Juliette à Simon.
“Bonjour Simon”, dit Myriam en lui adressant un sourire. “Bienvenue !”
“Merci”, dit Simon qui ne trouve rien d’autre à dire.
“En fait, je préparais le dîner avec Myriam”, dit Juliette, “mais je pense qu’elle se débrouille sans moi, pendant que je te fais visiter les lieux. Peut-être pourriez-vous vous joindre à nous lorsque nous aurons terminé la visite ?”
“Oui, bien sûr. Je serai ravi de vous aider”, répond poliment Simon.
Dans le salon, ils trouvent Pierre dans le canapé en train de lire un magazine.
“Bonjour, Simon”, dit-il en se levant et en s’approchant d’eux. Il passe son bras autour de l’épaule de Juliette.
“Je vois que tu as gardé ton pantalon”, dit-il en souriant.
“Ah, arrête ça”, interrompt Juliette. “Je lui ai déjà dit de ne pas l’enlever avant d’en avoir envie”.
Simon rougit et essaie de trouver quelque chose à dire. “Calme-toi, mec”, prononce-t-il – beaucoup moins sûr de lui qu’il ne l’avait prévu, et se dépêche de changer de sujet : “Qu’est-ce que tu lis ?”
Pierre retourne à la table et prend le magazine.
Simon ne peut pas reconnaître la première page et secoue la tête. “Non je ne l’ai pas encore vu celui-là. J’aimerais le lire quand tu auras terminé.”
Juliette lui attrape le bras pour le faire avancer. “Viens, il faut aussi que tu voies le reste de la maison !”
Dehors, sur la terrasse, ils sont accueillis par Linea, Henry et Toby. Ils profitent des dernières chaleurs du soleil de fin d’après-midi. Puis Juliette lui montre la chambre d’amis où il peut rester avec toutes ses affaires.
“Et puis tu peux voir là-haut où se trouve notre chambre à coucher”, dit-elle en montant les escaliers jusqu’au premier étage. La chambre est immense et surtout recouverte d’un très gros matelas d’un mur à l’autre.
“Vous dormez tous ici ?” Simon demande avec étonnement.
“Oui, toujours”, répond Juliette. “C’est vraiment une chose formidable de dormir ensemble. Si tu veux, tu peux dormir là-haut avec nous autres, mais sinon, tu peux juste dormir dans la chambre d’amis. Tu pourras décider de ça plus tard…”
En redescendant l’escalier, Simon demande s’il a maintenant rencontré tout le monde et Juliette répond que oui, sauf Martin, qui n’est pas à la maison pour le moment.
Simon retourne dans le hall pour prendre son sac et le porter jusqu’à la chambre d’amis. Il fait une pause en se demandant s’il doit baisser son pantalon ou non. Il décide enfin qu’il veut avoir le courage de le faire. “Je peux tout aussi bien l’enlever maintenant que plus tard”, pense-t-il et le met dans la pile avec ses sandales et son t-shirt. Puis il retourne à la cuisine pour aider à préparer le dîner comme il l’a promis.
“Re-bonjour. Qu’est-ce que je peux faire ?” demande-t-il en entrant dans la cuisine. Juliette est en train de couper des oignons et Myriam est en train de mélanger une pâte. Cela ressemble à des préparations pour pizza.
“Eh bien… et si tu grattais quelques carottes…” dit Juliette. “Tu pourras les râper ensuite. Les carottes sont dans le réfrigérateur.”
Simon trouve le sac avec les carottes et le vide dans l’évier. “Et où est-ce que je peux trouver un bon couteau ?” demande-t-il.
Myriam fait un signe de tête en direction du bloc de couteaux. “Prends-le là-bas”, dit-elle. “Et ensuite, verse-moi encore de la farine, s’il te plaît”.
Simon verse de la farine dans le plat à pâte pour Myriam, puis tend la main devant elle pour prendre le petit couteau dans le bloc à couteaux. Myriam est penchée sur le plat de pâte, et en attrapant le couteau, Simon effleure accidentellement son sein avec sa main.
“Oh… je suis désolé”, marmonne-t-il gêné et retire sa main.
“Hé, ne t’inquiète pas pour ça”, dit Myriam en lui souriant. “Si tu dois faire quelque chose dans cette petite cuisine, tu ne peux pas t’empêcher de te toucher de temps en temps”.
Mais le contact de la poitrine de Myriam et toute cette situation où il est seul dans la cuisine avec deux femmes nues commence à faire impression sur Simon et il sent que sa bite commence à gonfler.
“Oh non”, pense-t-il. “Sans pantalon, il est tout simplement impossible de cacher une érection”.
Mais avant qu’il ne décide de ce qu’il peut faire, Myriam commence à pétrir la pâte. Simon regarde les seins de Myriam qui rebondissent au rythme de son pétrissage et sa bite grandit et saute.
Myriam découvre ce qui se passe et arrête son pétrissage en se mettant à rire. “Hé, c’est quelque chose que tu aimes, hein ?”, dit-elle en rejetant ses longs cheveux blonds loin de son visage.
“Eh bien… ouais… je suis désolé…” Simon bégaie et ne sait plus quoi dire.
“Ne sois pas désolée”, répond Myriam et recommence à pétrir. Elle retire la pâte du plat et la pose sur la table, ce qui lui permet de pétrir avec de longues et profondes poussées qui font rebondir ses seins encore plus.
“Tu as une belle queue”, dit-elle. “Et je trouve ça flatteur, que mes seins t’excitent”.
Simon ne dit rien, et timidement, il se contente de commencer à gratter les carottes, en jetant fréquemment des regards en coin sur les seins rebondissants de Myriam. Sa bite se dresse en plein mât, et il n’y a tout simplement rien qu’il puisse faire pour y remédier.
“Tu sais, il n’est pas habitué à cela comme nous le sommes”, dit Juliette. “Je veux dire, être nus ensemble comme ça”.
Myriam arrête de pétrir pendant un moment et regarde Simon. “C’est vrai ?” demande-t-elle. “Tu n’as jamais vu une femme nue avant ?”
Simon secoue la tête. “Eh bien oui…”
Myriam lui envoie un regard rusé tout en frottant la pâte sur ses doigts. “Tu veux donc dire que tu as surtout vu des femmes nues sur des photos ou autres ? Tu n’as jamais été avec une femme nue auparavant ?” demande-t-elle ?
Simon acquiesce sans rien dire.
Myriam se dirige vers l’évier pour laver le reste de la pâte. “Cela veut dire que tu es pratiquement vierge… ou peu importe comment on appelle ça quand on est un garçon”, dit-elle en hésitant un instant. ” Dis-moi… “, poursuit-elle. “Tu ne voudrais pas essayer d’être ensemble avec moi pendant un moment ? Je veux dire : nous pourrions nous asseoir dans un canapé et tu pourrais essayer de me toucher… et d’autres choses ?”
Simon regarde d’un air troublé Juliette qui se contente de lui sourire de manière rassurante. “Oui… mais…” bégaie-t-il. “Oui je veux bien, mais…” Il hésite. “Est-ce que c’est quelque chose qu’on peut faire comme ça ?”
Myriam s’essuie les mains et serre un peu le bras de Simon. “Oui, bien sûr qu’on peut le faire comme ça. Et je pense que nous avons tous les deux envie de le faire. Hé Juliette : tu ne pourrais pas demander à Pierre de t’aider à préparer le dîner ?” dit-elle, avant de s’adresser à nouveau à Simon : “Viens me rejoindre !”
Simon prend donc la main de Myriam et la suit dans le salon.
Pierre n’est plus dans le salon, la pièce est donc vide. Myriam s’assoit dans le grand canapé et Simon s’assoit à côté d’elle. Sa bite n’est plus aussi dure, mais elle est encore longue et épaisse.
“Je peux toucher ta bite ?” demande Myriam.
Simon acquiesce et Myriam tend la main et caresse sa bite très doucement. Puis elle la prend dans sa main et Simon peut sentir qu’elle devient plus dure dans sa main.
“Tu aimes ça ?” demande Myriam.
Simon fait un bruit de consentement.
“Tu te masturbes beaucoup ?” Myriam demande.
“Eh bien”, Simon fronce les sourcils. “Presque tous les jours, je crois…”
Myriam presse son sexe. “À l’époque où je n’avais pas de petit ami, je me masturbais aussi beaucoup. Peut-être pas tous les jours, mais probablement tous les deux jours. Maintenant, je ne le fais plus aussi souvent. Maintenant, je baise plutôt !” Myriam s’esclaffe. “Est-ce que tu regardes des magazines pornos en te masturbant ?” demande-t-elle.
Simon secoue la tête. “Non, pas très souvent.”
“Est-ce que tu fantasmes à la place ?” Myriam demande.
Simon acquiesce.
“Sur quoi fantasmes-tu ?”
Simon hésite et rougit en se remémorant ses fantasmes préférés. “Je veux dire… tout ce qui est coquin…” répond-il évasivement.
Myriam prend un air sexy dans les yeux. “Oh, laisse-moi deviner…” dit-elle. “Tu penses sûrement à Juliette et à ses gros seins, n’est-ce pas ?”
Simon rougit encore plus et hoche la tête de façon presque invisible.
“J’aime beaucoup les caresser moi-même quand nous nous embrassons”, poursuit Myriam.
Étonné, Simon en conclut que Myriam et Juliette font parfois l’amour ensemble. Mais il ne dit rien.
Myriam éloigne sa main de la queue de Simon. “Essaie de me montrer comment tu te masturbes”, dit-elle. “Ensuite, je pourrai te montrer comment je le fais”.
Simon hésite un instant, puis il saisit sa bite et commence à se masturber. Sa prise fixe la peau lâche et lorsqu’il pousse sa main et son sexe dans des directions opposées, son sexe glisse d’avant en arrière. Son rythme est rapide parce qu’il est assez excité et il commence à gémir.
Myriam le regarde avec curiosité. “Essaie encore de t’arrêter, si tu peux”, dit-elle. “Si tu veux, je peux le faire pour toi dans un instant”. Simon s’arrête mais il est encore haletant et il garde sa main autour de son sexe.
“Regarde comment je fais”, dit Myriam.
Elle écarte les jambes de façon à ce que les lèvres de sa chatte s’écartent. Simon étudie sa chatte avec curiosité. Elle est très rose, et de petites boucles blondes poussent autour d’elle. La peau rose brille et Simon en conclut qu’elle doit être mouillée. Myriam déplace maintenant un doigt autour des plis humides, puis elle l’enfonce dans le trou invisible. Avec l’autre doigt, elle commence à frotter autour d’une petite bosse que Simon devine être son clitoris.
“Mmmh, je suis aussi excitée que toi, je crois”, dit-elle. “Tout comme tu as été excité en regardant mes seins rebondir, j’ai été excitée en voyant ta bite durcir”.
Simon regarde comment son doigt glisse dans et hors de sa chatte tandis que son autre doigt frotte en petits cercles rapides autour de son clitoris.
“Veux-tu bien te tenir à mes seins pendant que je fais ça”, murmure-t-elle.
Simon venait de recommencer à frotter de haut en bas sa hampe, mais il lâche maintenant sa queue et tend la main vers Myriam. Il met sa main autour du sein le plus proche et le presse légèrement. Il est surpris de voir à quel point il est doux et il le presse encore un peu. Puis il tâtonne autour des courbes lisses et effleure légèrement le mamelon.
“Ça fait du bien si tu frottes le grigri entre tes doigts”, dit Myriam et gémit quand Simon prend son grigri entre deux doigts et le presse un peu. “Oh, oui… c’est bon”, dit Myriam. “Fais aussi la même chose pour l’autre sein”.
Simon continue à caresser ses seins fascinants. Il est très excité maintenant, et il doit réprimer activement son envie de se caresser la queue et de se donner du relief.
“Tu devrais aussi essayer de toucher ma chatte”, dit Myriam et retire son doigt de son trou de chatte. Simon passe la main entre ses jambes et remonte l’intérieur de sa jambe vers son sexe, et il trouve bientôt l’entrée de sa chatte. Tentativement, il enfonce un doigt dans la grotte chaude et humide et, à son grand étonnement, il constate qu’il peut y introduire tout son doigt sans rencontrer de résistance. Il commence à faire entrer et sortir son doigt comme il a vu Myriam le faire auparavant.
“Oh, c’est bien”, soupire Myriam. “Tu es doué pour ça, Simon. J’adore la sensation de ton doigt dans ma chatte… Et maintenant, tu devrais sentir mon clitoris.”
Myriam retire son doigt de sa chatte et le conduit jusqu’à ce que Simon puisse sentir le bourgeon dur situé au milieu de tous les plis doux et humides. “Frotte autour”, dit-elle tout en enfonçant à nouveau l’un de ses propres doigts dans sa chatte.
Simon essaie d’imiter ce qu’il a vu Myriam faire et il frotte en cercles rapides autour du clitoris.
“S’il te plaît, appuie un peu plus fort”, gémit Myriam. “Oui, comme ça… C’est tellement bon… C’est ça… Continue comme ça… Oui… Ohh oui… Vas-y… Fais-moi jouir… Tu me fais jouir, Simon… Ohh oui… Je jouis maintenant Simon…”
Simon frotte autant qu’il le peut et il sent comment le corps de Myriam se tend et comment elle presse sa chatte contre son propre doigt et son doigt pendant que son orgasme la traverse.
Finalement, elle se rassied dans le canapé, haletante. “Tu es si gentil avec moi, Simon. Tu t’es vraiment bien débrouillé.”
Simon éloigne ses mains de sa chatte et revient à ses seins doux qui se sentent si merveilleusement ronds et doux dans ses mains.
“Maintenant, tu as donné un orgasme à une femme pour la première fois”, dit Myriam. “Ça t’a plu ?”
Simon acquiesce. Simon acquiesce. “Qu’est-ce que ça fait ?” demande-t-il.
“Eh bien, ça fait juste très très bien”, répond Myriam. “C’est difficile à expliquer. Je pense que ça fait la même chose qu’un orgasme pour toi.”
Myriam tend la main vers la bite de Simon. “Est-ce que je peux essayer de te faire jouir ?” demande-t-elle. Simon acquiesce et Myriam commence à déplacer sa main d’avant en arrière pour que la bite de Simon glisse d’avant en arrière à l’intérieur de sa prise. Simon gémit et essaie de synchroniser sa poussée avec le mouvement de la main.
“Je crois que tu dois t’asseoir sur mes genoux”, dit Myriam. “Sinon, je vais avoir une crampe dans la main. Viens ici…”
Simon s’assoit en plaçant un genou de chaque côté de Myriam. “Est-ce que je peux toucher tes seins ?” demande-t-il. Myriam acquiesce et continue à le branler. Simon tient un sein dans chaque main et presse les mamelons tout en gémissant bruyamment.
“Ohh….” gémit-il, et Myriam sent sa bite grossir, puis il explose et pompe son sperme en grosses giclées sur le ventre, les seins et le cou de Myriam.
“Oui… C’est ça…” Myriam dit tout en pompant de haut en bas sur sa queue. “Tu jouis, Simon… Répands ton sperme sur moi… Donne-le moi… Oui… Ohh ça continue encore et encore… ! C’est vraiment beaucoup de sperme…”
Finalement, la giclée se termine et le sperme commence à couler sur la main de Myriam et sur la bite de Simon pendant qu’elle continue à caresser sa bite. De grandes quantités de sperme commencent également à couler entre les seins de Myriam et sur son ventre, et Simon commence à frotter ses seins avec le sperme. Myriam lâche sa bite qui ramollit et l’aide à étaler le sperme collant sur sa peau jusqu’à ce qu’il n’y ait plus de gouttes qui coulent. De son côté, Myriam est maintenant collante et glissante sur la majeure partie de son corps.
Pendant le dîner, Simon est assis entre Juliette et Myriam. Tout le monde se caresse distraitement ou se caresse l’un l’autre de temps en temps pendant qu’ils parlent. Juliette touche Pierre et Simon, et Myriam touche Martin et Simon. Simon peut voir que ce n’est pas seulement lui, mais aussi Pierre et Martin qui ont des érections au contact des femmes. Pierre touche Juliette et Linea, et Martin touche Myriam. Simon trouve enfin le courage de toucher les gros seins de Juliette sur lesquels il a tant fantasmé. Simon découvre que Martin et Myriam sont partenaires pendant que Myriam leur parle du dépucelage de Simon. Après le dîner, tout le monde aide à nettoyer la cuisine et à préparer le café. Enfin, tout le monde s’assoit dans les canapés du salon, boit du café, parle et se touche.
Simon est assis dans le grand canapé avec Pierre et Juliette. Pierre et Juliette ont un bras autour de l’autre, Pierre caresse les seins de Juliette et Juliette embrasse Pierre en faisant des roucoulements. Myriam s’approche d’eux et s’assoit par terre devant Pierre. Elle lui caresse les cuisses et monte et descend sa bite qui se lève volontiers par petites saccades.
Juliette regarde Myriam de haut. “Tu veux bien embrasser sa bite, Myriam ? Ensuite, j’embrasserai sa bouche.”
Myriam se déplace entre les jambes de Peters pour pouvoir atteindre sa bite avec sa bouche. “Mmhh, j’aimerais beaucoup faire ça. Aimerais-tu être embrassé par deux femmes simultanément, Pierre ?” demande-t-elle.
Pierre fait un signe de tête pour dire qu’il apprécie. Sa bite est maintenant en pleine érection, et Myriam la saisit d’une main et la frotte de haut en bas plusieurs fois avant de commencer à lécher le pourtour de la tête de la bite. Juliette ébouriffe les cheveux de Myriam et Myriam ouvre la bouche pour laisser la bite de Pierre glisser entre ses lèvres. Simon observe avec fascination la façon dont la bite de Pierre entre et sort de la bouche de Myriam. Il essaie d’imaginer ce qu’il ressentirait si quelqu’un lui suçait la queue. Ce sera sans doute plus doux et plus chaud que de se masturber avec sa main.
Pendant ce temps, Martin, le partenaire de Myriam, s’est installé par terre à côté de Myriam et devant Juliette. Il prend Myriam dans ses bras et lui caresse le dos pendant qu’elle suce la bite de Pierre. Puis il commence à caresser les jambes de Juliette et lorsqu’il caresse vers le haut l’intérieur de sa cuisse, elle écarte les jambes.
“Oh oui… j’ai vraiment envie qu’on me lèche la chatte”, dit-elle. “Veux-tu bien sucer ma chatte dégoulinante, Martin ?” demande-t-elle.
Martin passe un doigt entre les lèvres humides de la chatte de Juliette. “Oh oui, tu es toute mouillée, Juliette”, dit-il et il frotte autour de son clitoris, ce qui la fait gémir fortement. Puis il se penche sur elle et, en tirant la langue, commence à la lécher. D’abord lentement tout autour de sa chatte, puis un peu plus rapidement juste autour de son clitoris.
Juliette embrasse de nouveau Pierre, gémit et émet des sons inintelligibles, tandis que Pierre lui tient les seins et les presse.
Simon est devenu un peu excité en regardant tout le monde faire l’amour, et il touche légèrement sa bite dure. Il cherche les trois autres gars, qui sont maintenant allongés sur le sol. Toby est sur le dos, la tête posée sur un gros oreiller. Henry est à genoux juste à côté de la tête de Toby et Toby lui lèche la queue. Linea est assise sur les genoux de Toby avec sa bite dans sa chatte, elle le baise lentement tout en s’appuyant sur Henry et en l’embrassant. Simon conclut, plus aussi étonné, qu’il est possible d’être trois à baiser ensemble en même temps.
Simon regarde à nouveau Juliette qui semble sur le point de jouir. Elle appuie son bassin contre le visage de Martin et gémit de plus en plus fort.
“Oh, c’est tellement bon…” s’écrie-t-elle soudain. “Tu es si bon avec moi… Je jouis maintenant… Oui… Je jouis… !” Juliette crie et gémit pendant que Pierre lui presse fortement les seins et que Martin lèche directement son clitoris et semble enfoncer deux doigts dans sa chatte. “Ohh… j’adore jouir…” Juliette soupire et retombe épuisée dans le canapé.
Pierre se détache de l’étreinte de Juliette et s’assoit sur le bord du canapé, ce qui lui permet d’enfoncer plus activement sa bite dans la bouche de Myriam et de l’en faire sortir.
Juliette se place derrière lui et le tient par le torse. “Tu peux aussi jouir, Pierre ?” demande-t-elle.
Pierre acquiesce, il est maintenant lui aussi haletant. “Oui… Myriam suce si bien… Sur ma bite… Tu es une bonne suceuse de bite, Myriam… Je vais jouir dans un instant…”
Juliette lui caresse la poitrine et ébouriffe ses cheveux et ceux de Myriam. “C’est bien. Tu es si belle quand tu jouis. Tu devrais remplir la bouche de Myriam de tout ton délicieux sperme.”
Myriam remue avidement la tête de haut en bas, faisant glisser la bite de Pierre d’avant en arrière entre ses lèvres et dans sa main. Simon entrevoit parfois la tête de la bite lorsqu’elle est presque sortie, juste avant qu’elle ne disparaisse à nouveau au fond de sa bouche.
“Oh oui… Maintenant, je jouis dans ta bouche, Myriam”, gémit Pierre tandis que tout son corps se tend.
“Mmmmmhhhh…” Myriam répond et continue de sucer tandis que le sperme de Peters jaillit dans sa bouche.
Simon peut voir une partie du sperme couler entre les lèvres de Myriam et sur la bite de Pierre et la main de Myriam.
Finalement, Myriam relève la tête et laisse la bite de Pierre glisser hors de sa bouche, mais elle continue à frotter sa main de haut en bas sur la bite glissante. Du sperme coule du coin de sa bouche sur son menton et elle sourit béatement. “Mmhh, j’aime vraiment ça, quand tu gicles dans ma bouche”, dit-elle.
“Oh, j’aime vraiment ça aussi”, dit Pierre et gémit lorsqu’une nouvelle contraction orgasmique le secoue.
Martin s’appuie sur Myriam et la serre dans ses bras, il lui embrasse le visage et lèche le sperme de Pierre sur ses lèvres et son menton. “J’aimerais te baiser maintenant, Myriam”, dit-il. “Sens comme ma bite est grosse et dure”.
Myriam tend la main entre eux et tire sur sa bite. “Tu as tout à fait raison”, murmure-t-elle. “Tu vas baiser ma chatte juteuse avec ton énorme bite”. Elle se lève et pousse Pierre sur le côté. Elle s’assoit sur le canapé entre Pierre et Simon ; en dehors sur le bord du siège, pour que Martin puisse s’approcher de son sexe. Elle écarte les jambes et s’appuie en arrière contre les coussins moelleux du canapé. Martin se glisse à genoux entre ses jambes. Il dirige sa bite avec sa main et commence à faire courir la tête de sa bite gonflée entre les lèvres extérieures de la chatte de Myriam et sur son clitoris sensible. Elle gémit et se tortille contre lui pour qu’il la pénètre. Martin appuie sur sa bite vers le bas et la pousse vers l’intérieur.
“Oh, oui… C’est bon”, gémit-il tout en se retirant un peu jusqu’à ce qu’il pousse à nouveau vers l’avant ; cette fois-ci à fond.
“Yesss… C’est le meilleur”, répond Myriam. “Ta grosse bite dans ma petite chatte”.
Et pendant que Martin commence à faire entrer et sortir sa bite de la chatte de Myriam, elle commence à frotter autour de son clitoris avec ses doigts.
“Essaie si tu peux jouir, pendant que je te baise avec ma bite”, dit Martin en ralentissant sa vitesse pour ne pas jouir avant elle.
Simon regarde les seins de Myriam, qui se balancent lentement au rythme des poussées de Martin. Simon tend la main vers son sein et commence à frotter son mamelon.
“Oh oui, Simon. Tu es si gentil avec moi…” Myriam soupire et tend la main pour attraper la bite de Simon.
Simon déplace sa main d’un sein à l’autre et appuie fort sur les tétons. Myriam gémit à chaque fois qu’il appuie, même s’il appuie de plus en plus fort. Pendant ce temps, il lui caresse aussi doucement les seins. Les doigts de Myriam se précipitent sur son clitoris à grande vitesse. Simon devine que Myriam est sur le point de jouir, et soudain Martin se met à pousser beaucoup plus vite tout en gémissant bruyamment.
“Ahh Myriam… Si tu peux jouir maintenant… Alors je remplirai ta chatte… de mon sperme…”
Myriam ne répond pas ; elle est en train de jouir. Son orgasme coule doucement dans son corps comme de longues vagues calmes, et au fond de sa chatte, elle sent le sperme gicler de la bite de Martin. Martin s’effondre sur elle et l’embrasse dans le cou. Myriam lâche la bite de Simon et sa propre chatte et serre Martin dans ses bras tout en ressentant les contractions orgasmiques des muscles de sa chatte autour de la bite ramollie de Martin.
Entre-temps, Henry a fait gicler son sperme dans la bouche de Toby pendant que Linea jouissait de la bite de Toby et que Toby remplissait la chatte de Linea de son propre sperme. Ils se détendent maintenant sur le sol, emmêlés dans les bras l’un de l’autre.
Au bout d’un certain temps, Martin se laisse glisser par terre devant Myriam. Myriam lui ébouriffe les cheveux, puis regarde Simon, assis à côté d’elle. Simon est très excité à force de voir tout le sexe qui se passe autour de lui, et il caresse lentement sa queue de haut en bas.
“Tu pourrais me baiser”, dit Myriam d’un ton invitant et tend un bras vers lui pour lui caresser l’intérieur de la cuisse. “… si tu le souhaites. Veux-tu me baiser ?”
Simon acquiesce, presque hypnotisé par toute la situation.
“On pourrait peut-être s’allonger ici dans le canapé”, dit Myriam, voulant dire que Juliette et Pierre auraient peut-être la gentillesse de s’installer dans l’autre canapé. Ils se déplacent volontiers et Myriam s’allonge sur le dos, écarte les jambes et tend le bras pour inviter Simon à venir vers elle.
Simon se glisse entre ses jambes, Myriam saisit sa bite d’une main et la dirige vers l’ouverture de sa chatte. Simon sait instinctivement qu’il doit pousser et il sent sa bite glisser complètement dans la chatte très humide et couverte de sperme de Myriam. Il trouve rapidement comment bouger ses hanches pour que sa bite glisse dans et hors de sa chatte, et Myriam saisit ses hanches pour augmenter la vitesse de ses poussées.
“Viens, Simon… C’est bon… Fais gicler ton sperme en moi… Fais en sorte que ta fine bite asperge ma chatte de ton sperme…”
La sensation de sa bite glissant dans et hors de sa chatte humide et chaude est très différente et beaucoup plus intense que la masturbation avec sa main, et en quelques poussées, il commence à jouir. Il sent que le sperme est expulsé par sa bite dure et dans la chatte de Myriam, et il s’effondre sur elle, la tête entre ses seins. Myriam reçoit sa semence en se pressant contre lui, et lorsque son orgasme s’estompe, elle presse ses seins vers le haut, attrapant la tête de Simon entre eux.
“Ahhh… C’était incroyable…” Simon murmure un peu plus tard, en relevant la tête et en souriant à Myriam.
“J’ai aimé ça aussi…” dit Myriam. “J’ai aimé que tu jouisses si vite”.
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Quelques instants plus tard, tout le monde va se coucher. Simon se couche avec les autres dans la chambre du premier étage. Il se couche entre Myriam et Juliette. Myriam a la tête sur l’épaule de Martin, et elle dit à Simon qu’il peut se mettre contre son dos, s’il le souhaite. Simon se blottit contre elle et sent sa queue durcir à nouveau. Il la presse contre ses reins, mais elle ne réagit pas. Simon n’ose pas faire plus que cela, et il s’endort bientôt.
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Le lendemain matin, Simon se réveille en sentant que quelqu’un lui suce la queue. Il ouvre les yeux et voit Juliette à genoux, penchée sur lui. Pierre est à genoux derrière Juliette et la baise par derrière. Juliette tient sa bite d’une main et la suce avec sa bouche. Simon lui ébouriffe les cheveux et Juliette lâche sa bite, lève les yeux et lui sourit.
“Désolée de te réveiller… Mais c’était tellement tentant…”, gémit-elle, manifestement excitée elle-même. Pierre la baise avec force et rapidité. “Tu avais enlevé ta couverture d’un coup de pied… Et ta bite était toute dure… C’est bon pour moi de la sucer, n’est-ce pas ?”.
Simon acquiesce et Juliette continue à la sucer. Elle s’y prend différemment que lorsque Myriam suçait la bite de Pierre hier. Juliette ne prend pas toute la bite de Simon dans sa bouche, mais suce et lèche plutôt le dessous de la tête de la bite pendant qu’elle frotte de haut en bas avec sa main sur la hampe. Simon ressent la sensation de chatouillement de sa langue sous la tête de sa bite comme étant très différente de la sensation de sa bite glissant dans et hors d’une chatte, et aussi très différente de la masturbation avec ses mains.
Il gémit d’excitation. “C’est tellement bon… Juliette… Je vais jouir maintenant…” gémit-il. C’est alors qu’il voit et sent son sperme gicler en grosses gouttes tandis que Juliette continue de sucer et de lécher. Le sperme jaillit en l’air et tombe sur le visage de Juliette et éclabousse en gouttes blanches ses cheveux noirs. Pierre crie alors et Simon sait qu’il arrive aussi.
Juliette lâche la queue de Simon pendant un court instant. “C’était bien que tu jouisses… Simon… Et toi aussi, Pierre… Parce que maintenant, je jouis aussi…”
Elle prend la bite de Simon complètement dans sa bouche. “Mmmmhhh…” fredonne-t-elle tandis que Pierre projette son sperme dans sa chatte, et qu’elle serre la bite de Simon entre ses lèvres, et jouit elle-même dans un long orgasme régulier.
Pierre retire sa bite de la chatte dégoulinante de Juliette et ils s’allongent à côté de Simon, Juliette au milieu. Simon tend la main et caresse légèrement les seins de Juliette.
“Wow”, dit-il. “Quelle façon de se réveiller !”
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